Le mot de la fondatrice de la Fondation

“Main dans la main”

Telle est la devise qui doit guider l’action de la fondation.

Par-delà l’engagement politique, demeurent l’engagement de la femme que je suis, le sens de mes combats, et ce en quoi je crois.

Dans son histoire récente, la République Démocratique du Congo a connu de multiples périodes d’instabilité politique qui ont exacerbé les inégalités de chances et dégradé les conditions de vie – déjà précaires – des Congolaises et Congolais.

L’engagement sociétal qui est à l’origine de ma vie publique est également le point de départ de cette fondation. Un sentiment d’urgence m’anime et me pousse à faire plus pour la population. À travers cette fondation, c’est en toute humilité et fierté que je m’engage à agir pour l’éducation, la justice sociale et l’autonomisation des femmes, avec plus particulièrement la prise en charge et la formation professionnelle des “filles-mères”.

L’éducation est un droit essentiel, nécessaire à l’épanouissement d’un individu dans la société, mais c’est également un atout vital pour le développement économique et socio-culturel d’un pays. L’autonomisation de la femme – véritable pilier de la famille et donc de la société – est également un impératif en vue d’atteindre la stabilité et l’émergence.

C’est en donnant aux personnes les plus vulnérables les outils dont elles ont besoin pour mener des vies saines et productives que nous pourrons les aider à s’extraire de la précarité et devenir ainsi des acteurs à part entière du développement du pays. Aucun Congolais, quelle que soit sa situation, ne doit se retrouver écarté de la marche en avant entreprise par le pays. Car c’est pour l’avenir des Congolais et de leurs enfants que j’ai souhaité prendre part à ce combat.

Je m’engage à mettre tout mon amour et mon savoir au profit des personnes vulnérables. Avec eux, je veux rester pleinement mobilisée.

Présidente Nathalie BUL’AN’SUNG’